Plusieurs manifestations ont eu lieu la semaine dernière pour évoquer les problématiques liées à l'environnement de la femme. Cette année, la commission des femmes de l'USTKE et le secrétariat chargé de la condition féminine du Parti Travailliste ont une nouvelle fois innové dans leur approche de l'actualité politique, c'est ainsi qu'elles ont opté pour le thème « Femmes en marche pour Kanaky 2014 » ; plus d'une centaine d'entre elles se sont retrouvées à Sarraméa, le vendredi 8 mars. Une occasion pour réaffirmer leur identité culturelle et d'échanger sur l'avenir institutionnel du pays.
A la grande chefferie de Petit-Couli où les représentantes des femmes ont été accueuillies par le Grand-Chef, Berger Kawa.
Avec le porte-parole des femmes, Julien Gouetcha, membre du Collège Honoraire de l'USTKE, en discussion avec le Grand-Chef du district de Cîrî de l'aire Xârâcùù.
Au moment des interventions, la salle du foyer socioculturel n'a pas désempli durant la journée.
Les mamans et les grands-mères de la tribu d'Unia (Yaté) avaient tenu aussi à être présentes à cette manifestation.
La communauté des différentes églises du pays, leurs représentantes faisaient aussi parties des délégations.
La tribu de Saint-Louis (Mont-Dore), elles aussi, deux ans plutôt avaient accueilli les différentes structures en liaison avec la commission des femmes de l'USTKE.
Les femmes de la région de La Foa et de Sarraméa.
Les femmes de l'USTKE et du Parti Travailliste avaient tenu également à poser pour la traditionnnelle photo de groupe. Autre intervention remarquée par l'auditoire lors de l'ouverture de la Journée Internationale de la Femme, le témoignage de Suzanne Ounei (une miliante active dans les années 70 & 80 - Groupe des Femmes en Lutte). Nous reviendrons dans un prochain article sur les différents témoignages et les rencontres faites à cette journée.