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Conférence internationale du travail : quels enjeux ? ... Le Sommet du G20 début juillet en Allemagne ...
Ingrid
1 Aout 2017
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Conférence internationale du Travail : quels enjeux ?
Le Secrétaire Général de l’OIEM, Alain Simon, a participé à la 106e session de la Conférence internationale du Travail (CIT) qui s’est tenue à Genève, du 5 au 16 juin. Cette année, la Conférence s'est déroulée sous le slogan « Construire l’avenir avec le travail décent ».
Le Directeur général de l'OIT, Guy Ryder, était chargé d'une mission délicate. Dans son rapport, il devait promouvoir l'initiative verte – une nouvelle religion de plus en plus contestée par les climatologues qui ne font pas partie du Groupe d'experts intergouvernemental sur le climat de l'ONU
(Lire article suivant "Climategate")
.
S’appuyant sur des données objectives, ces scientifiques affirment que les informations concernant l'impact de l'activité humaine sur le climat sont trop exagérées ou même manipulées.
L’OIEM s’est toujours prononcée et a agi pour le respect de l’environnement, tout en étant pour la diversification des différentes sources d'énergie, compte tenu de la disponibilité de ces sources et des infrastructures nécessaires. Il y a un grand nombre de pays où les énergies fossiles dites polluantes constituent la seule source disponible qui assure leur survie.
Face aux moyens limités de ces pays, les écologistes exigent que le dioxyde de carbone soit taxé de 50 à 100 dollars par tonne. Cela apporterait aux militants pour le climat jusqu'à 4 000 milliards de dollars par an. Mais est-ce que les pays pauvres sont en mesure de payer ces taxes ?
Par contre, il existe actuellement diverses technologies modernes capables de transformer les ressources fossiles en énergies non polluantes. Seulement, ces technologies ne sont pas accessibles aux pays pauvres à cause de leur coût élevé, tandis que les pays riches qui les possèdent ne donnent rien gratuitement.
L’OIEM aurait souhaité que Guy Ryder parle de cette situation injuste et appelle les pays riches à leur responsabilité. Au lieu de cela, il a fait un discours sur l’écologisation nécessaire du monde du travail, " ce qui contribuera le plus nettement à établir une distinction entre les 100 premières années d’existence de l’OIT et les 100 qui suivront ".
Cette session de la CIT a également révisé et abrogé les textes pertinents de l'OIT (recommandations et conventions) qui sont contraignants pour les employeurs et les gouvernements, et pas forcément pour les travailleurs. Mais est-ce que la voix des salariés a toujours pesé au sein de l’OIT ?
Rappelons que l’OIT est la seule institution de l’ONU dotée d’une structure tripartite, grâce à laquelle les représentants des gouvernements et des organisations d’employeurs et de travailleurs se réunissent pour élaborer ensemble leurs politiques et leurs programmes.
Historiquement, la représentation des travailleurs à l’OIT (assurée par les syndicats) fut dominée par les Centrales syndicales réformistes (ou de collaboration de classe) – la CSI, la CISL et leurs prédécesseurs.
Alors que les syndicats combatifs (contestataires) furent toujours écartés des instances dirigeantes de l’OIT. Face à cette discrimination, pouvons-nous parler d’un tripartisme favorable aux salariés ?
L’OIEM s’est félicitée du fait que l’OIT se préoccupe enfin des questions de paix, ce qui n’était pas toujours le cas.
En 1988, le Groupe des Travailleurs de la Commission charbonnière (présidé par l’OIEM) a adopté une résolution pour la paix et le désarmement. Nos arguments : l’argent gaspillé pour la course aux armements peut servir au développement durable, à la création d’emplois et à la satisfaction des revendications professionnelles et sociales des salariés.
La résolution a été annulée par le Conseil d’administration de l’OIT, sous prétexte que les questions de paix ne relèvent pas de la compétence de l’OIT. Ce qui est plus scandaleux, c’est que cette annulation a été soutenue par la CISL !
Des questions se posent donc : Pouvons-nous mettre l’OIT au service des salariés ? L’OIT existera-t-elle encore dans 100 ans, et sous quelle forme ?
"Climategate", une arnaque globale. Réchauffement ou refroidissement ?
Le Sommet du G20
, qui s’est tenu les 7 et 8 juillet en Allemagne
, débattait des problèmes de changement climatique. Or il est difficile de trouver un autre thème plus contradictoire et spéculatif que celui-ci.
Le fait est que les politiques prennent leurs décisions sous l'influence des climatologues escrocs. C'est un club international fermé, mais au fond, une secte qui sert les intérêts des corporations globales, raconte des histoires horribles sur le réchauffement et gagne beaucoup d'argent.
Le scandale du "Climategate" (la fuite sur Internet de plus de 1 000 documents du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat de l'ONU) a révélé la collusion entre les écolos, les politiques et le business : avec des milliards reçus de l'Etat, transformer l'énergie mondiale en abandonnant les combustibles fossiles au profit des énergies renouvelables.
Dans un pays où les salariés travaillent le plus en subissant des semaines de 68 heures, leurs droits sont bafoués : les salaires sont très faibles et les conditions de travail trop difficiles. Selon la CSI, la Corée du Sud se trouve en queue de peloton mondial en ce qui concerne le respect des droits des travailleurs. Les militants syndicaux sont souvent licenciés, persécutés et jetés en prison. Le pouvoir applique une politique de privatisation comportant des réformes antisociales.
La prétendue réussite sud-coréenne a été obtenue grâce à plusieurs facteurs, mais en premier lieu grâce au soutien financier (sous forme de dons) et technique très important des États-Unis. On peut donc ajouter : et grâce à l’exploitation inouïe des travailleurs.
Après la Seconde Guerre mondiale, ce pays très pauvre en ressources énergétiques a été transformé en " Dragon asiatique " avec un double objectif : créer une vitrine du capitalisme face à l'alternative au Nord et en même temps disposer à volonté d’une main d'oeuvre bon marché.
En fait, c'est avec les dragons et les tigres asiatiques qu’a commencé le processus appelé aujourd'hui
« Globalisation ».
On peut en tirer quelques conclusions :
-
Les « experts » ne disent pas que les énergies renouvelables coûtent très cher, que les compagnies vertes sont en faillite, nécessitent des subventions et des avantages fiscaux, que l'énergie verte porte un préjudice énorme à l'économie des pays pauvres, survivant uniquement grâce aux sources traditionnelles.
-
Les « experts » ne disent rien non plus de l’impact négatif sur l'environnement causé par les guerres dévastatrices qui détruisent des pays entiers.
-
Leurs prédictions ne se réalisent pas, et l'abandon des énergies fossiles conduira à une plus grande pauvreté, la famine, les guerres, l'accélération de la migration.
En attendant, les climatologues cherchent
une explication plausible à la neige en été qui détruit la récolte
dans les régions chaudes.
Coréé du Sud : La sortie du Nucléaire signifie-t-elle le déclin du Dragon asiatique ?
Dans un pays où les salariés travaillent le plus en subissant des semaines de 68 heures,
leurs droits sont bafoués : les salaires sont très faibles et les conditions de travail trop difficiles. Selon la CSI, la Corée du Sud se trouve en queue de peloton mondial en ce qui concerne le respect des droits des travailleurs. Les militants
syndicaux sont souvent licenciés, persécutés et jetés en prison. Le pouvoir applique une politique de privatisation comportant des réformes antisociales.
La prétendue réussite sud-coréenne a été obtenue grâce à plusieurs facteurs, mais en premier lieu grâce au soutien financier (sous forme de dons) et technique très important des États-Unis. On peut donc ajouter : et grâce à l’exploitation inouïe des travailleurs.
Après la Seconde Guerre mondiale, ce pays très pauvre en ressources énergétiques a été transformé en "Dragon asiatique" avec un double objectif : créer une vitrine du capitalisme face à l'alternative au Nord et en même temps disposer à volonté d’une main d'oeuvre bon marché.
En fait, c'est avec les dragons et les tigres asiatiques qu’a commencé le processus appelé aujourd'hui « Globalisation ».
Le Nucléaire a incontestablement été un,autre facteur ayant contribué au développement économique de la Corée du Sud.L'an dernier, elle générait encore près de 30 % de son énergie électrique grâce à 25 réacteurs.
Mais, le 19 juin, le nouveau Président sudcoréen a annoncé le refus de prolonger les réacteurs en fin de cycle initial, l'arrêt des constructions de nouvelles centrales, la sortie progressive du pays de l’énergie atomique, afin de s’orienter vers l’énergie renouvelable et le
gaz naturel liquéfié
.
Le principal fournisseur de GNL en Corée du Sud a été le Qatar, embourbé dans un conflit diplomatique avec ses voisins (non sans « l'aide » des USA).
Est-il surprenant que la Corée du Sud signe avec les Etats-Unis un contrat portant sur l’achat de GNL de schiste américain pour 25 milliards de dollars ?
Après la crise des chantiers navals, le refus du Nucléaire peut cacher la désindustrialisation entamée du pays. On se souvient alors qu’en 1938 le géant Samsung était une épicerie qui vendait du riz.
Le retour en arrière est-il possible ? Si ce processus continue, la Corée du Sud pourrait s’avérer être un dragon en papier.
(Source : Courrier de l'OIEM (Organisation Internationale de l'Energie et des Mines) - Bulletin d'Information N° 127 Juin – Juillet 2017)
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